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Malgré toutes leurs dissemblances, ces « poulettes » ont un rêve commun, celui de pouvoir s’envoler. Et ce rêve va les emmener là où elles n’avaient jamais mis les pieds... Mais on n’a pas tous les ailes d’un goéland, alors on fait ce qu’on peut, on se passe par-dessus et on laisse s’échapper ce que l’on a mis en cage...
Elles communiquent, tentent de se comprendre et d’accomplir des prouesses. Au beau milieu de leurs maladresses et de leurs fragilités elles vont apprendre à cultiver la chute et à découvrir un espace où elles peuvent voler de leurs propres ailes. La joie déborde parfois, elle se met en mouvement sur le fil ou ailleurs et le « fou » du rire sort de sa cachette. Et là, tout près du creux de soi, on découvre un monde où les poules dansent sur un fil et où la liberté devient celle que l’on se donne à soi-même.

Dans « L’envol de la Fourmi », des éléments très concrets de la vie des poules deviennent des allégories de notre condition humaine...