De la cour au Collegium Musicum et à l'église, le génie instrumental et l'univers des cantates du Kapellmeister et du Thomaskantor.

"Un éventail contrasté de la production des cantates de Bach, entre sacré et profane. De la culpabilité du pécheur et de l'imploration de la miséricorde (BWV 55), à
l'évocation de la mode naissante du café (BWV 211), toute la gamme des moyens musicaux adaptés à la foi comme au divertissement. Parallèlement à l'exaltation
du printemps (BWV 202), un monde instrumental de solistes mettant la flûte à l'honneur, de Sonate en Ouverture ciselée dans l'esprit de la danse et  s'abandonnant dans la légère Badinerie"